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il y a 4 ans
Une confession libertine très chaude
Alors que je partais au travail, Arnaud dormait encore. Toute la journée, j'avais la tête remplie des images de la veille, ne sachant trop qu'en penser. De plus, mon anus douloureux me rappelait constamment que j'avais ouvert de nouvelles perspectives. C'est très excitée par ces souvenirs que je rentrais à la maison. J'errais dans chaque pièce sans vraiment me calmer. Assise sur le canapé, regardant la télé, je commençais à me toucher inconsciemment. Mes mains caressaient mes cuisses et finirent par frôler mon pubis.
Je fermais les yeux et les souvenirs de la veille me revenaient. Trop excitée pour m'arrêter là, je mis la cassette dans le magnétoscope et pris la télécommande. Je relevais ma robe et entrais la main dans ma culotte. Les images sur l'écran défilaient et je revoyais les mêmes scènes. Mes doigts s'agitaient sur mon clitoris et s'insinuaient dans ma chatte. Peu à peu, je réalisais à nouveau que ce qui m'excitait, ce n'était pas de voir un film pornographique, mais de voir mon mari jouir d'une autre femme. Je le voyais prendre du plaisir.
Son comportement avec elle m'excitait aussi beaucoup; il la traitait comme une pute, se servait d'elle mais c'est tout de même elle qui donnait le plaisir. Mes caresses s'accéléraient et l'orgasme arriva, inscrivant dans ma tête que voir mon mari baiser une femme était très excitant.
Arnaud arriva du travail tard, comme d'habitude, et je ne savais trop comment me comporter en entendant la voiture rentrer dans l'allée Il était hors de question de lui raconter que je m'étais masturbée une heure auparavant. De plus, nous n'avions pas reparlé depuis la veille. Il entra en souriant, me prit dans ses bras et m'embrassa langoureusement. Je sentais son sexe contre mon ventre, en pleine érection. Je lui souris et me frottais contre en retour. La soirée promettait d'être longue à nouveau.
S'écartant alors, il me demanda si j'étais sérieuse la veille quand je parlais de rencontrer un autre homme. Trop honteuse pour en parler comme ça, je me retournais, puis, alors qu'il m'enlaçait à nouveau, lui confirmait que j'aurais adoré baiser devant lui, lui montrer le plaisir que l'on ressentait à regarder l'autre jouir. Ses mains caressaient mes seins à travers ma robe et sa bouche me baisait la nuque. Il m'embrassait le cou tout en me disant qu'il était très excité par l'idée. Ca, je le devinais à l'état de sa bite contre mes fesses.
Sa main droite descendait doucement et vint caresser ma chatte à travers mes vêtements. Il m'expliquait qu'il serait très excité de me voir me comporter en salope avec un autre mec. Son ton avait changé et il me décrivait des scènes de baise folles alors que ses mains étaient maintenant sous ma robe. Il frottait son bassin sur moi et je sentais sa bite glisser entre mes fesses. Sa main gauche jouait avec mes seins alors la droite cherchait mon clitoris. Je m'appuyais sur le buffet et lui laissais le champ libre en écartant les cuisses.
Il avait deux doigts dans mon sexe et son pouce sur mon clitoris. Sa main gauche laissa mes seins et je l'entendis ouvrir sa braguette. Il troussa ma robe et frotta son gland sur ma culotte. Sa bite entrait un peu dans ma chatte et seul le tissu l'empêchait d'aller plus profond. N'en pouvant plus, je la pris dans la main et la guidais dans mon vagin. Il s'enfonça d'un seul coup et s'immobilisa. Il m'embrassa alors dans le cou et me dit d'imaginer qu'il me regardait me faire baiser par un inconnu. Il me décrivait la scène en me limant doucement alors que ses mains tripotaient mes fesses.
Puis, je sentis son doigt se poser sur mon anus. Il f o r ç a un peu l'entrée mais finalement il l'inséra entièrement. Surexcitée par cette double pénétration, je remuais mon bassin plus vite et mes muscles se contractaient. Il fit alors entrer un deuxième doigt, mais c'était trop et mon anus me faisait mal. Je lui demandais de l'enlever, mais il me plaqua sur le buffet et il les retira.
Il sortit sa bite de ma chatte, il cracha dessus et vint placer son gland sur mon cul. Je lui dis de ne pas me prendre comme ça, que j'avais trop mal. Il répondit alors que j'étais une cochonne qui voulait se faire prendre par quelqu'un d'autre, une pute qui rêvait de se faire enculer et d'un coup, il poussa et je me sentais m'ouvrir. La douleur était intense et je me débattais un peu.
Mais il continuait à pousser et finalement, son ventre cogna sur mes fesses. Il me remplissait complètement. Je me sentais distendue, les sphincters sur le point d'exploser. Il commença alors des va-et-vient de plus en plus rapide qui transformèrent la douleur en une chaleur irradiant mon ventre. Le plaisir prenait le dessus et mes plaintes se changèrent en gémissements. Comprenant cela, il me traita alors de salope qui ne dit pas non longtemps, de pute toujours prête à se faire enculer. Ses mots m'excitaient et me blessaient en même temps. Je me retournais pour l'embrasser, mais il me repoussa la tête contre le mur.
Il pouvait faire ce qu'il voulait de moi, j'étais docile et je jouissais de cette soumission. Il accéléra encore ses aller-retours, me besognant littéralement. Ses couilles venaient frapper sur mon sexe en rythme. Je le sentis alors se cambrer, prêt à exploser. Il me prit la tête et m'embrassa à pleine bouche alors que sa bite explosa dans mon cul, faisant jaillir des décharges électriques et me provoquant un orgasme v i o l ent. Il ressortit son sexe, refaisant jaillir la douleur et laissa retomber ma robe sur mes cuisses. Il me prit alors dans ses bras et m'embrassa. Il me dit qu'il m'aimait et que j'étais la plus formidable des femmes et qu'il arrangerait les choses pour que l'on rencontre un homme.
Je lui signifiai alors qu'il serait bien de rencontrer des femmes aussi car j'avais adoré le voir à l'œuvre. Toujours dans ses bras, je l'écoutais m'avouer qu'il aimerait me voir avec une autre femme. Je l'arrêtais et lui dis que c'était hors de question. Il me sourit et accepta mon refus.
Je pris une douche et il me rejoint. Il m'expliqua que l'on pourrait peut être chercher sur Internet, que c'était l'idéal pour trouver un inconnu. Peu familière du monde des ordinateurs, je l'écoutais m'énumérer pleins d'acronymes potentiellement utiles à cette recherche. En sortant de la douche, il alluma l'ordinateur et commença ses recherches, mais il ne tombait que sur des gamins. Par-dessus son épaule, je regardais l'écran où s'affichaient parfois des photos de d'a d o l e s c e n t s boutonneux ou de gros plans sur des bites énormes.
Il abandonna rapidement, et me dit que l'on passerait une annonce plus tard. Mise en appétit par cette recherche, je lui dis alors que nous pourrions aller en boite dans une ville voisine dès le lendemain, samedi. Il se retourna surpris et je lui expliquais en rougissant que j'en avais maintenant très envie. Il me sourit puis me dit : "
- Pourquoi attendre demain, allons-y ce soir puisque tu en meurs d'envie. "
Il se leva alors et ouvrit l'armoire pour choisir mes vêtements. A ma surprise, il fut très sobre et m'expliqua qu'on voulait choisir quelqu'un, pas que toute une discothèque me v i o l e. Très vite, nous étions dans la voiture, dans une autre ville, à la recherche d'une boite. Il s'arrêta devant une pharmacie et en sortant utilisa le distributeur de préservatifs, je réalisais alors ce que j'allais faire.
En remontant dans la voiture, il m'expliqua qu'on se séparerait en rentrant que je choisirais le mec sur la piste. Arnaud devait intervenir quand le mec me payerait à boire. Il arrêta la voiture devant une boite aux allures ringardes, mais nous n'y allions pas pour y rester longtemps. Je dansais sur la piste, jugeant les mecs qui m'entouraient. Voilà, je venais de trouver le candidat. Dans les 25 ans, brun et bien bâti. Tant qu'à faire, autant en prendre un bien. Je dansais alors avec lui, souriante, accueillante. Je cherchais Arnaud furtivement du regard. Je le vis me sourire et me faire signe que ça lui allait aussi. Quelques chansons passèrent et mon cavalier se rapprochait, ses mains couraient sur mes hanches. Entre deux chansons, je lui montrais le bar et il me suivit. Il commanda deux cocktails, m'appris qu'il s'appelait Nicolas et entama la discussion classique dans le style : "
- Vous venez souvent ici ? "
Je vis Arnaud arriver et tapoter l'épaule de Nicolas. Il lui dit alors : "
-
Elle te plait ?
-
Oui, mais ça ne te regarde pas.
-
C'est ma femme. Mais si elle te plait, pas de problèmes.
-
Pardon ?
-
Tu peux la baiser, elle ne demande que ça, mais je regarde, voilà le contrat. "
Je rougissais alors que Nicolas se retournait vers moi, incrédule. Arnaud me demanda alors d'embrasser Nicolas pour détendre l'atmosphère. J'avançais la tête et lui pris la sienne à deux mains. Le contact de ses lèvres sur les miennes provoqua un frisson dans mon ventre et j'ouvris les yeux pour voir Arnaud nous regarder, l'air satisfait. J'ouvris la bouche pour le laisser entrer sa langue qui caressa la mienne et s'enroulait autour.
Les yeux grands ouverts, je regardais Arnaud dans les yeux. Les mains de Nicolas se refermèrent sur mes fesses, et je me sentais fondre, mais Arnaud intervint et nous expliqua qu'un endroit privé serait préférable. Nicolas proposa d'aller chez lui. Arnaud demanda que je conduise notre voiture seule pendant qu'il irait avec Nicolas. Je tentais de protester mais il insista. Je suivais l'autre voiture dans laquelle mon mari parlait avec un inconnu qui allait me baiser. Surexcitée par la situation, je me caressais le sexe à chaque feu rouge.
Après un trajet relativement court, Nicolas se gara devant un immeuble. Ils descendirent de la voiture et m'invitèrent à faire de même. Nous prîmes l'ascenseur et l'atmosphère était électrique. Un silence gênant s'installa et nul n'osa le rompre. L'ascenseur sonna en arriva à l'étage, me faisant sursauter. Nicolas sortit le premier et nous guida jusque chez lui. Il nous fit entrer dans un salon très bien décoré. Il nous fit asseoir et nous proposa à boire. Personne n'osa mentionner la conversation de la boite et la conversation devint des plus banales. Tout à coup, Arnaud nous dit : "
- Bon, nous sommes venus ici pour une raison, et nous sommes tous beaucoup trop coincés. Le plus simple, c'est que vous fassiez comme tout couple sur le point de baiser, embrassez-vous. "
Ces paroles, au lieu de me pousser à l'acte, me bloquaient. Arnaud le remarqua et il décida alors de nous guider plus encore. Il prit mes mains et les posa sur les joues de Nicolas, il me regarda, m'embrassa et me répéta : "
- Embrasse-le. "
Je n'en revenais pas. Arnaud me poussait à embrasser un inconnu afin de me faire baiser devant lui. La situation était délirante et je regrettais presque d'être allée en discothèque. Finalement, ce fut Nicolas qui avança ses lèvres vers les miennes. Tout comme en boite, je regardais Arnaud, pour lui montrer que je faisais ça pour nous, que Nicolas n'était qu'un instrument et cela me décoinça. Ma langue fut très vite entre ses dents alors que je fermais les yeux. Je l'embrassais sauvagement, déchaînée par l'excitation qui montait. Ses mains caressaient mes seins, les pétrissaient, jouaient avec mes tétons par-dessus ma robe. J'ouvris à nouveau les yeux et vit qu'Arnaud était maintenant assis en face de nous, sur un fauteuil. Il me sourit. J'en conclus que je pouvais aller plus loin. Les mains de Nicolas ne me laissaient vraiment pas insensible et je décidais de franchir le pas. Mes mains descendirent de ses épaules et doucement virent caresser son torse puis j'en posais une sur son sexe. Je le branlais doucement à travers son jean et finalement, j'ouvris sa braguette.
Continuant mes caresses, je l'aidais à sortir de son caleçon. En baissant les yeux, je fus un peu déçue par la bite de Nicolas, ce n'était vraiment pas un étalon. Tant qu'à faire, j'aurais préféré un mec bien membré, mais bon, je n'avais plus le choix, et puis c'était certainement mieux par rapport à Arnaud. Ses lèvres quittèrent les miennes et sa main me poussa la nuque vers sa bite. Arnaud souriait toujours, mais maintenant, il se masturbait en nous regardant. La vue de son sexe gonflé me rappela que mes actes étaient responsables de son état. Cette idée que mon plaisir avec Nicolas en amènerait à Arnaud m'excitait et je cédais à la poussée des mains de Nicolas.
Mes lèvres virent se poser sur le sexe bandant. Je les ouvris et pris son gland, puis une bonne partie de sa bite dans ma bouche. Ma langue vibrait sur son gland alors que je l'aspirais, comme Arnaud m'avait appris à le faire et je sentais Nicolas se tendre. Il était hors de question qu'il se laisse aller si tôt et je décidais donc d'arrêter ce traitement spécial. Je le fis sortir et le léchais comme une glace. Tout en lui caressant le gland, je lui léchais les couilles et tout à coup, je relevais la tête et réalisais qu'Arnaud avait raison, que j'étais vraiment une salope, une pute toujours prête à baiser. Plutôt que de me raisonner, ces paroles eurent raison de mes dernières réticences et je repris mon travail. Les mains de Nicolas essayaient d'atteindre ma chatte, mais notre position sur ce canapé ne le permettait pas. Réalisant cela, Arnaud proposa d'aller sur un lit. Nicolas se leva, manqua de trébucher à cause son pantalon aux chevilles et nous guida vers sa chambre.
Alors qu'il se levait, Arnaud me prit dans ses bras, me dit qu'il m'aimait et m'embrassa. Sa langue devait certainement trouver à ma bouche un goût nouveau dû à la bite de Nicolas, mais il n'en s'en plaint pas. Dans la chambre, Nicolas se mit nu rapidement et m'enleva ma robe et mes sous-vêtements. Il invita Arnaud sur coté du lit et me poussa de l'autre. Il vint s'allonger à côté de moi. Il me bascula sur le dos et plaça sa bite entre mes seins. Comprenant son envie, je refermais moi-même mes mains sur ma poitrine et l'emprisonnait. Il fit quelques allers retours, crachant sur son sexe pour le lubrifier et rendre le contact plus agréable. A chaque poussée, j'essayais de le toucher avec ma langue, mais il était trop petit. Il s'arrêta et il m'embrassa à nouveau. Ses mains posées sur mon pubis, il me fit écarter les cuisses. Sans me toucher le sexe, il me caressait l'entrecuisse. Sans perdre de temps, je repris sa bite et recommençait de le branler.
Je pouvais imaginer Arnaud se masturbant juste à mes cotés et cela me plaisait beaucoup. Sans prévenir, Nicolas enfonça d'un coup un de ses doigts dans mon vagin, provoquant d'intenses vagues dans mon ventre. Je le voulais en moi. Je me dégageais et tirais sa petite bite vers moi. Il s'installa entre mes jambes mais Arnaud intervint et lui proposa une capote. Mon propre mari donnait une capote à un mec pour qu'il me baise ! Nicolas l'enfila rapidement et s'avança. Je sentis le contact du réservoir sur mon sexe, puis son gland se posta à l'entrée. Un contact sur mon bras me fit tourner la tête et je vis qu'Arnaud venait d'éjaculer. Son sperme tombait sur moi et je fus prise par les premières ondes du plaisir. Mon ventre bouillait et je repliais mes jambes sur les hanches de Nicolas, le poussant ainsi en moi. Ce n'était pas lui qui me baisait mais moi qui me servais de lui comme d'un gode. Bien que petit, son sexe me remplissait bien et je sentais le plaisir monter. Il prit alors un rythme soutenu et régulier. J'allais jouir d'ici quelques secondes. Je vis qu'Arnaud se branlait à nouveau et je voulais l'aider.
J'avais la bite de Nicolas dans le ventre et celle d'Arnaud dans la main. Je le branlais en rythme des mouvements dans ma chatte. Arnaud s'avança et me proposa sa bite à sucer. Je le pris dans ma bouche tant bien que mal sous les secousses infligées par Nicolas. Arnaud me caressait les seins et le plaisir l'emportait, je me mis à jouir longuement. Le temps se figea et tout mon corps se concentra dans ma bouche et mon vagin. Je contractais tous les muscles et je sentis Nicolas se cambrer. Il venait d'éjaculer. Il se retira encore tout dur et retira sa capote, posant sa bite gluante sur mon ventre, le gland entre mes seins. A cette vue, Arnaud éjacula dans ma bouche, me remplissant de sperme chaud et amer dont j'avalais une partie et laissais couler l'autre sur mon visage et sur les draps. Mes deux amants s'allongèrent sur le dos me laissant nue, les cuisses ouvertes, recouverte de sperme, savourer mon plaisir.
Puis, Nicolas alla prendre une douche et Arnaud et moi en profitions pour partir discrètement. Nous ne le revîmes jamais.
Nous arrivâmes à la maison où nous primes une douche et allions nous coucher dans les bras l'un de l'autre. La soirée avait été formidable et la pudeur avait cédé au plaisir. De nouveaux horizons s'ouvraient.
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